mercredi 31 mars 2010

Il y a très longtemps...

qu'à la demande de mes lecteurs, j'ai arrêté de parler du nain qui croit nous gouverner.

Mais là, je ne pouvais pas laisser passer ça.

Notre nabot national, le petit j'sais tout et fais tout, a encore une fois trop fait et ceci aux Etats-Unis d'Amérique, le pays d'Obama.
D'abord avant de se rendre à la Maison Blanche, après bien d'autres chefs d'Etat ou de gouvernement (ne lui en déplaise, il est loin d'être le premier, comme il le claironne), il est allé se goinfrer d'un hamburger et de chili con carne, dans un fast food local au déjeuner, avant le repas du soir chez le président des US. J'ose espérer qu'il n'a pas pété le soir au repas. (parce que les haricots rouges, ça fait péter)

Il se tutoient, paraît-il, alors il faudra m'expliquer. Qu'il tutoie le président américain (pourquoi-pas, il est capable de toutes les goujateries) mais entendre Obama le tutoyer (comment entend-il, le you ne veut pas dire tu mais vous et c'est le seul vocable utilisé en Anglais), mais le pire c'est la magnifique cravate violette (couleur du No Sarkozy Day) arboré par Barak Obama, et la petite taille de l'émigré hongrois à talonnettes, que je vous montre ci-dessous.


dimanche 28 mars 2010

A hue et à dia !

Beaucoup de gens connaissent cette expression qui veut dire aller à gauche et à droite, et aller nulle part. Je l'utilise régulièrement pour faire mes courses.
Mon choix pour les courses en plastiques et cartons,  avec chariot à roulettes, en fil de fer, (les courses à tout le monde, dans mon environnement) à jeter dans le sac en plastique et dans la poubelle, (pas le chariot, je tiens à récupérer mon euro (6,56 F), mais les emballages) après avoir sorti le petit rôti tout prêt, tout bardé, avec sa ficelle, à mettre au micro-ondes,  que je ne possède pas, comme tout le monde, j'ai le choix entre U et DIA. 
U est à Privas, 13 kms et DIA 13 kms dans l'autre sens direction Montélimar. Le dilemme devient important, l'un au bord du Rhône, l'autre dans la montagne, et j'habite à 300 m d'altitude. Je ne risque donc pas l'inondation par la mer, et il n'y a pas de digues vers chez moi, mais l'eau et la connerie descendant de la montagne (propos du Bistrot du coin), il peut m'arriver d'être inondé par de fortes pluies. On ne gagne pas toujours, au jeu des inondations.
Donc, soit je descend à DIA, ou je monte à U, avec l'automobile, quitte à redescendre ou remonter après. Quel idée de ne pas habiter une plaine inondable !

Alors je me souviens de mon enfance, où on achetait les provisions, au marché du village, avec nos cabas, salades ou légumes dans du papier journal, qui pouvait resservir éventuellement de papier toilette, accroché au clou, dans la cabane au fond du jardin, s'il n'était pas trop mouillé,  morceau de viande ou charcuterie dans du papier sulfurisé, tout était recyclable.  On n'avait pas de poches plastiques à cette époque.
Détail qui a son importance, nous habitions à deux kms du village, et la marche à pied ne nous était pas interdite, donc l'école 4 fois par jour, les courses, c'était de 20 à 25 mn aller et autant au retour, des fois plus, si on traînait un peu. Bien sûr, pas de cantine à l'école, qui aurait ramené le pain entamé pour le repas. Souvenirs, souvenirs d'un temps pas si lointain, où il y avait beaucoup moins d'ordures ménagères, et où la viande avait encore le goût de viande, et les légumes étaient bios sans qu'on le demande.
Donc aller à U ou à DIA, c'est mon problème, une fois par semaine. Et surtout ne rien oublier, c'est ça qui est surement le plus dur.
Quand je dis que je suis un vieux con.

vendredi 19 mars 2010

Encore plus triste.

Mourir d'un cancer à 79 ans, c'est dur mais c'est la vie, mais Marie Dominique Arrighi, là c'est décevant, quand on va lire son blog plein d'espoir et de vie. C'est K, histoires de crabes, si vous connaissez.

Elle était journaliste à "Libération", et écrivait de très bons articles, elle était née le 29 septembre 1951.

Elle n'avait même pas 60 ans, et je guettais chaque jour de ses nouvelles via son blog. C'est fini, elle était entrée en soins palliatifs le 18 février et puis, plus rien.
Qu'elle trouve la sérénité là où elle va, si elle va quelque part, mécréante qu'elle était.

dimanche 14 mars 2010

Conseil de lecture

Dans toutes les bonnes librairies, dès le 1er avril, publié au Seuil.
Et c'est bien sûr, un petit clin d'oeil familial, puisque l'auteur de ce livre est mon beau frère.

Dans la fuite incessante

Denis Arché

Littérature française
Date de publication : 01/04/2010
EAN13 : 9782021005196

Johanna quitte sa ville, son mari, sa vie tranquille mais incomplète, pour une plage de la Mer du Nord, le temps de réfléchir au moyen de satisfaire son désir d’enfant. La rencontre avec un représentant, puis une serveuse, la force inquiétante des paysages, une disparition, vont bouleverser ce parcours. Le réel est parfois plus dramatique qu’on ne s’y attend, et Johanna découvre, dans l’obscure lumière de la tragédie, une autre identité. En anglais il existe un mot « serendipity » dont le charme tient à l’idée subtile qu’il tente d’exprimer : la faculté de ne pas trouver ce que l’on cherche, mais dans le même mouvement, trouver ce que l’on ne cherchait pas. Il me semble que dans cette histoire, cela se passe ainsi, à moins que, une fois de plus, la fugue ne l’emporte…

« Sur le front de mer, elle achète un ciré, il s’est remis à pleuvoir. Elle entre dans un café, commande un sandwich et une bière. Mais elle ne mange presque pas, elle a les doigts gelés. Elle file aux toilettes, et vomit le peu qu’elle a mangé. Elle se regarde dans le miroir. Les deux visages se font face, le vrai, et son reflet, et ils ne se disent rien. »

samedi 13 mars 2010

Un ardéchois s'en va...

Et me laisse avec ma tristesse.
Jean Ferrat né en 1930 et ardéchois d'adoption depuis si longtemps qu'il habitait à Entraigues sur Volane.
Je l'avais vu sur scène il y a au moins 40 ans à Lyon, au Palais d'Hiver (salle qui n'existe plus que dans mes souvenirs).
Je le savais malade depuis quelques temps, mais en plein match Ireland, Pays de Galles, j'ai appris la nouvelle sur mon I phone, ça m'a fait un gros choc.
Alors pour te rendre hommage, je te dédie ta chanson écrite pour ton ami Jean Saussac peintre et maire d'Entraigues, en pensant sincèrement que tu aurais pu vivre encore un peu.


C'est samedi, beau temps, rions un peu.

On pourrait s'y croire dans cette imitation de manifestation de droite, créé par des étudiants des  arts de la rue, et des intermittents du spectacle. J'ai beaucoup ri en l'écoutant, et j'espère que vous aussi.

On s'y croirait, et les slogans sont terrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrribles. Les jeunes UMP (union des merdes parisiennes) peuvent en prendre de la graine pour leur publicité.


jeudi 11 mars 2010

Nous faisons encore (et toujours) les gorges chaudes des medias étrangers.

Sarko ne fait pas que tromper les français, il trompe aussi sa femme. Enfin, ils se trompent tous les deux.
Vous pouvez lire ça dans "Courrier International"

FRANCECarla et Nicolas, une leçon d'amour à la française

"Selon la rumeur, Carla Bruni tromperait Nicolas Sarkozy avec le chanteur Benjamin Biolay, tandis que le président se consolerait dans les bras de Chantal Jouanno, sa secrétaire d'Etat à l'Ecologie. L'occasion pour la presse étrangère de rappeler que, en France, la politique a toujours eu le goût des aventures."

Et puis écoutez Didier Porte qui apporte son éclairage, dès ce matin sur France Inter :





lundi 8 mars 2010

Alors, on fait quoi ce matin ?


Au réveil, ce matin, quelle surprise !
Déjà hier, nous avons  eu la neige, mais 6 cm. Aujourd'hui, 22 cm sur la table de la terrasse. Enfin, nous pouvons nous consoler, nous ne sommes pas bloqués sur l'autoroute du Sud, nous sommes au chaud dans la maison. Mais comme nous sommes lundi, il va bien falloir se bouger, et prendre les voitures, et pas de matériel thermique (tracteurs, ou camions équipés), car le chemin qui mène à la maison est privé. Alors pelles et balais seront nos armes contre la nature.
Je me demande si je ne vais pas finir par rallier les théories de Claude Allègre, pour le réchauffement climatique.

Oui, il s'agit bien de la Jaguar, sous la neige, qu'il va falloir dégager, pour pouvoir sortir et aller faire des courses. A moins, que l'on attende le dégel, et qu'on prenne la petite voiture, mais ce n'est pas gagné, non plus ! Nous ne la voyons presque pas sur la photo, mais elle est bien là !






  Si vous voulez vous asseoir !


Et dire que c'est un vrai petit paradis, l'été ! n'est ce pas Marc !!!


 Et le chien qui ne veut pas sortir, pas salir ses pattes.
Allez, je vous laisse, amis blogueurs,  je vais déneiger, pour essayer de sortir.

vendredi 5 mars 2010

Peu de temps pour écrire, mais toujours présent.

Alors, je ne vais pas faire de discours, ni dissertation, mais vous parler de l'onde violette et vous faire entendre et voir les personnes qui en parlent très bien.